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Le Blog De Skolanet

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Lectora est un outil auteur qui permet de produire rapidement des contenus e-learning de grande qualité. Parmi les nombreux atouts de Lectora, la publication au format HTML est un plus pour développer dans un format particulièrement adapté au mobile learning.

Les démonstration s'appuient sur un exemple de module de formation destiné à un usage sur  tablettes.


Programme des séminaires en ligne (prévoir 30 à 45 minutes selon les questions) :
Mardi 22 et 29 novembre à 11h00.
Mardi 6 et 13 décembre à 11h00
Des séances à votre convenance sont envisageables au besoin.

 

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5 septembre 2011 1 05 /09 /septembre /2011 09:40

http://officeimg.vo.msecnd.net/en-us/images/MH900431822.jpg

 

 

 

Comment le tutorat peut-il s’exercer dans une formation m-learning ? En effet, à l’image de l’évolution du 100% e-learning vers des situations mixtes (blended  learning), il parait légitime de s’interroger sur la mise en place d’un tutorat à distance pour répondre aux difficultés des apprenants nomades.

 

Qu’entend-on par tutorat à distance ? Jacques Rodet, Philippe Ramette et Sylvie Dalbin proposent sur Wikipédia la définition suivante : « Le tutorat à distance a pour principal objectif de soutenir les efforts d'apprentissage dans le cadre d'un projet de formation ouverte et à distance. Il aide à rompre l'isolement et à atteindre les résultats des objectifs pédagogiques des apprenants. »

 

D'après l'article « Tutorat en FOAD : introduction » publié par Supports FOAD, les différents types de tutorat que l'on peut mettre en place dans une FOAD sont :

le tutorat d'accueil : présenter  le déroulement et le contenu de la formation.

le tutorat de gestion : gestion du groupe mais également interface entre les apprenants et l'institution éducative.

le tutorat technologique : assistance technique pour les problèmes rencontrés sur la plate-forme.

le tutorat d'accompagnement relationnel : destiné à motiver les apprenants et à combler la solitude de l'apprenant dans son parcours en autonomie pour prévenir et éviter l'abandon.

le tutorat d'accompagnement cognitif : aider les apprenants à développer des stratégies cognitives pour organiser le travail individuel en autonomie mais aussi le travail en groupe sur projets.

le tutorat d'évaluation : évaluer les acquis des apprenants.

 

Pour faire du tutorat d'accueil ou de gestion, on peut utiliser deux méthodes : un échange de courriels ou l’utilisation de SMS. La première méthode est très classique mais présente un gros inconvénient car les interfaces des smartphones notamment sont assez peu adaptées à la rédaction de mails. 

La deuxième solution est la résultante du développement des smartphones et des forfaits associés qui rendent plus facile l’utilisation de SMS. Les petits messages permettent à l’apprenant de rester en contact permanent avec son tuteur et sont plus simples à rédiger que des mails sur les smartphones.

 

Le tutorat technologique peut également utiliser cette méthode. Si un apprenant rencontre des problèmes avec le module, il peut envoyer un SMS ou un MMS au tuteur qui pourra visualiser la difficulté et lui venir en aide.

Une autre idée est d'utiliser des outils de messagerie instantanée comme Jabber, une application à télécharger sur le mobile pour accéder au webchat accessible avec une simple connexion internet. L'apprenant pourra expliquer son problème, le tuteur pourra lui expliquer comment le résoudre et s'assurer qu'il a réussi. De plus, on peut envoyer ou recevoir tout types de documents tel qu'un fichier texte, un PDF ou une vidéo et visualiser l'avancement du transfert en cours grâce à une barre de progression. 

 

La messagerie instantanée peut également permettre la mise en place d'un tutorat d'accompagnement relationnel. Le projet «Dr Math» qui a vu le jour en janvier 2007 en Afrique du Sud (consultable sur http://goo.gl/2mgQH) est un bon exemple. Les apprenants qui ont des difficultés en mathématiques entrent en contact avec des tuteurs en utilisant MXit. Ainsi, les tuteurs les aident à s'améliorer, les motivent et veillent à ce qu'ils n'abandonnent pas face à la première difficulté.

 

tut1.jpg

 

La mise en place d'un tutorat d'accompagnement relationnel peut également se faire grâce au

web 2.0 et un outil tel que Twitter dont l’intérêt principal est la possibilité d’avoir de l’interactivité. C’est un outil de réseau social et de microblogging qui permet à l'utilisateur de partager de brefs messages (140 caractères), appelés tweets. On peut utiliser lesHashTags qui sont un moyen pour ajouter des informations additionnelles au tweets pour les catégoriser selon un contexte. Prenons l’exemple d’une formation sur le jardinage, en ajoutant un hashtag #jardin aux tweets, les apprenants seront tenus au courant des dernières informations.

 

Twitter peut également être un outil pour faire dututorat d'accompagnement cognitif. Un apprenant qui éprouve des difficultés pédagogiques avec un module m-learning peut exposer son problème en publiant un tweet et le tuteur pourra directement lui répondre et partager avec les autres apprenants. La création d'une communauté d'apprenants permet au tuteur d'échanger et d'aider les apprenants, voire les inciter à travailler ensemble en leur proposant des projets plus complexes.

Pour assurer ces types de tutorats basés sur l’utilisation des réseaux sociaux majeurs, il existe le HTC ChaCha. C'est un smartphone alliant messagerie instantanée et utilisation du web 2.0. Il est doté d’un bouton de partage rapide qui permet de partager une photo ou une vidéo en appuyant juste sur le bouton Facebook. Il dispose d'une application de chat Facebook qui permet de démarrer un chat instantané en direct. Cela peut avoir un réel intérêt pour du tutorat si plusieurs apprenants rencontrent la même difficulté pédagogique ou technique avec un module, le tuteur peut les inviter dans un chat et illustrer ses propos grâce à une vidéo ou une photo.

 

 

tut2.png

Image : http://goo.gl/Bvicw

 

Le tutorat d'évaluation peut s’exercer via les plateformes LMS mobiles comme Moodle Mobile. Les outils de reporting du LMS vont permettre de faire remonter les résultats obtenus par les apprenants aux différents tests. Le tuteur pourra ainsi évaluer ce qui a été réussi ou non par les apprenants.

 

L'émergence du m-learning ne signifie pas la fin du tutorat car il reste nécessaire pour aider, motiver et évaluer les apprenants. Les outils et applications évoluent, ce qui laisse entrevoir de nouvelles façons de faire du tutorat tel que la création d'une communauté d'apprenants qui se forment sur les mêmes modules m-learning.

 

 

En savoir plus :

 

« Tutorat à distance », Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tutorat_%C3%A0_distance

« Tutorat en FOAD : introduction », Supports FOAD : http://www.supportsfoad.com/index.php/articles-foad/37-tutorat/57-tutorat-en-foad-introduction

« Mobile learning: South African examples », Steve Vosloo et Adele Botha : http://www.slideshare.net/stevevosloo/mobile-learning-south-african-examples

« C’est quoi les HashTags sur Twitter ? », TwitteRadar : http://twitteradar.com/cest-quoi-les-hashtags-sur-twitter/news

 

Antoine Alias, Etudiant en master "ingénierie de la e-formation" à Rennes 1 est en stage à Skolanet. Nous lui avons confié une mission de veille dans le domaine du m-learning. Cette mission a un objectif pédagogique dans notre rôle de maître de stage puisqu'elle va à permettre à Antoine d'analyser et remédiatiser des informations. En effet, Antoine va vous proposer une chronique régulière sur ce blog : "Antoine et le m-learning". La reformulation doit l'aider à s'approprier progressivement de nouvelles compétences en matière de m-learning. Nous vous invitons à utiliser l'espace de commentaires pour rendre plus dynamique encore les apprentissages d'Antoine.
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4 août 2011 4 04 /08 /août /2011 15:15

http://officeimg.vo.msecnd.net/en-us/images/MH900321182.jpg

Lors de mon article intitulé "Développer du contenu m-learning", j'avais évoqué la notion de coût de développement. Les ressources disponibles sur ce sujet sont peu nombreuses et il m'a paru important d'apporter un éclairage sur ce sujet.

Il est très difficile de chiffrer le coût de développement d'un module m-learning simple car il dépend fortement des choix mis en œuvre par l'organisation. On peut toutefois s'inspirer du modèle de calcul de coût pour le développement d'un module e-learning disponible dans ce document intitulé "E-learning, comment commencer ?" pour lister les composantes qui entrent dans ce calcul. Ce modèle date de 2003 mais il est pertinent pour le module que je vais vous présenter.

Dans notre exemple, nous étudierons un module simple, correspondant à un apprentissage de 15 à 20 minutes, dont le contenu vous est présenté sous forme schématique :

http://idata.over-blog.com/1/10/62/22/Mobile/mobileaa.png

Nous supposons que le contenu est apporté par le commanditaire du projet. Voici les postes à prendre en compte :

Les ressources humaines nécessaires au développement des contenus. Pour évaluer ce coût, il faut prendre  le coût quotidien du personnel et le multiplier par le nombre de journées travaillées.

On peut distinguer quatre phases principales dans le développement :

  • Tout d’abord, la réalisation d'un storyboard est indispensable pour planifier la production du module (temps de travail prévu : 2 jours).
  • La phase de réalisation du module est l'étape suivante. Il faut développer les contenus qui seront destinés aux apprenants (temps de travail prévu : 3 jours). On peut y incorporer des éléments qui favorisent l'apprentissage tel que des animations, des vidéos, du son et de l'image. N'oubliez pas que l'on peut personnaliser le contenu de la formation pour un public spécifique et que cette personnalisation engendre une augmentation du coût de développement des modules.
  • La phase de développement est la validation du contenu du module pour être certain qu'il corresponde aux attentes du commanditaire (temps de travail prévu : 1 journée).
  • Enfin la logistique, il faut mettre les modules ainsi que les mises à jour éventuelles à disposition des apprenants. Nous compterons  une journée pour le module. Cette journée pourra être fractionnée, elle doit être vue comme une forme de service après-vente après livraison du module.

http://officeimg.vo.msecnd.net/en-us/images/MB900439356.jpg

Le matériel informatique et les outils logiciels :

Le coût d'utilisation des postes informatiques pour la création de contenus ainsi que celui des smartphones et tablettes servant à tester les modules doit être pris en compte

Pour développer les modules m-learning, vous allez devoir acheter des logiciels spécifiques tels que Lectora Publisher (Contacter par mail Skolanet, partenaire francophone de Trivantis Lectora pour des informations complémentaires) qui vont augmenter le coût de développement. Ces  logiciels sont comparables aux logiciels de rapid e-learning mais  permettent de publier des contenus en html5 compatibles iPhone et Android.

Les charges fixes (de structure) :

Ce sont les charges dont le montant est indépendant du volume d'activité de l'entreprise (par exemple le loyer, les dépenses d’énergie, le secrétariat…). Cela dépend fortement des structures et nous n’en tiendrons pas compte ici.

La consultance :

Il est possible qu'une entreprise souhaitant développer des modules m-learning puisse avoir besoin de faire appel à des consultants extérieurs. Cette prestation va donc augmenter le coût de développement. Nous comptabiliserons une journée de développement expert.

Calcul du coût :

Les ressources humaines : Compter 300€ à 500€ par jour pour le développement et la logistique.

Le matériel informatique et les logiciels: On considère qu’ils sont amortis sur une base de 3 ans à hauteur de 3000€ par an. On obtient un coût d’environ 60€/jour.

La consultance : Tarif d’un consultant prévoir 1000€. Nota : Ce consultant peut aussi être un infographiste par exemple.

On obtient ainsi  une fourchette de prix de 3520€ à 4920€ hors charges de structure. Des ajustements sont possibles sur le nombre de journées de travail qui peut aussi s'avérer plus ou moins long selon la qualité des contenus experts fournis par le commanditaire du module.

Tous ces éléments font partie intégrante des coûts de développement des modules m-learning.

Il faut également tenir compte de coûts post-développement. Par exemple il peut s'avérer utile de prévoir un coût pour le tutorat, il ne vaut mieux ne pas laisser l'apprenant sans réponse face à des doutes car cela peut limiter l’efficacité du dispositif. La mise en place d’un support technique, pour aider les apprenants qui rencontreront des difficultés pour utiliser les modules sur leur smartphone doit aussi être anticipée.

Mais ces réflexions sur l'accompagnement et le tutorat dans le m-learning seront abordées dans mon prochain article.

 

En savoir plus :

E-Learning : Comment commencer ?”, BE-ODL, Publié le 16/06/2003.

"Créer une application iPhone, combien ça coûte ?", B. Méli, Journal du Net, Publié le 26/03/2010.

 

Antoine Alias, Etudiant en master "ingénierie de la e-formation" à Rennes 1 est en stage à Skolanet. Nous lui avons confié une mission de veille dans le domaine du m-learning. Cette mission a un objectif pédagogique dans notre rôle de maître de stage puisqu'elle va à permettre à Antoine d'analyser et remédiatiser des informations. En effet, Antoine va vous proposer une chronique régulière sur ce blog : "Antoine et le m-learning". La reformulation doit l'aider à s'approprier progressivement de nouvelles compétences en matière de m-learning. Nous vous invitons à utiliser l'espace de commentaires pour rendre plus dynamique encore les apprentissages d'Antoine.
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27 juillet 2011 3 27 /07 /juillet /2011 08:40

http://eu.123rf.com/400wm/400/400/gunnar3000/gunnar30001101/gunnar3000110100129/8656673-concept-de-risque-avec-le-doigt-sur-la-broche-risqu.jpg

Source : Gunnar Pippel : http://goo.gl/jINT0    

En complément de mon précédent article concernant le développement de contenu m-learning, je me suis intéressé cette semaine aux limites du m-learning. L’article "Avantages et inconvénients du m-learning" de Lisa RYAN montre bien que les inconvénients résultent à la fois de contraintes pédagogiques et techniques.

Une fragmentation de l’apprentissage : L’étude menée à l’université de Stanford par Qingyang en 2003 fournit des indications sur la fragmentation de l’apprentissage sur support mobile. Les apprenants ont eu accès à des modules de langues étrangères. L’apprentissage exige de la concentration et de la réflexion, or l’apprenant peut être distrait lorsqu’il marche dans la rue ou s’il se trouve dans les transports. L’apprentissage peut être fragmenté, il est donc important de concevoir des applications tenant compte de cette contrainte.

Le manque de compétences métacognitives : La métacognition fait référence à la capacité des apprenants à prendre conscience et de surveiller leur processus d'apprentissage. La littérature traitant de l'éducation des adultes précise que plus les apprenants comprennent la façon dont ils apprennent, plus ils sont en mesure d'évaluer leur façon d’apprendre et de gérer leur propre apprentissage.

http://kba.k.b.pic.centerblog.net/f9yqws3j.jpg

Source : http://goo.gl/7Wtc8

Quand on parle de compétences métacognitives, une distinction doit être faite entre la capacité des apprenants à l'auto-surveillance et la capacité à s'auto-évaluer. Les apprenants peuvent facilement surveiller leurs progrès par rapport à un plan qui permet de suivre l'exécution et le temps passé sur chaque tâche, ainsi que sur les scores obtenus lors des quiz.

Il est plus difficile de s’auto-évaluer car cela nécessite la capacité pour l'apprenant de juger à quel point il a réellement fait l'apprentissage et son degré d’acquisition de nouvelles compétences et connaissances.

Certains apprenants peuvent donc avoir des doutes sur ce qu’ils ont appris lors de la formation. Le défi du m-learning est de lever les doutes de l’apprenant. Une piste pour pallier à ce problème est l’utilisation de feedbacks externes pour répondre aux questions  des apprenants sur les objectifs de la formation et leurs réalisations.

La petite taille des écrans et la difficulté d’accéder à des informations à partir du Web : Les appareils mobiles présentent des inconvénients par rapport à la taille d'écran et la capacité d'accéder aux informations conçues pour la visualisation Web. En effet, la plupart des sites web sont destinés à la consultation sur PC et non sur smartphones.

Pour répondre aux spécificités des appareils mobiles, votre site internet doit offrir des articles plus courts et une navigation tactile. Voici quelques conseils proposés par le site Open Web pour adapter votre site aux smartphones :

Certains événements Javascript n’ont pas de sens sur un Smartphone. Par exemple, le Doubleclick ne se déclenche pas car tapoter deux fois déclenche en général un zoom.

Le flash est à oublier car de nombreux smartphones comme l’iPhone ne l’affichent pas. (Il vaut mieux utiliser du HTML5)

Il vaut mieux afficher des caractères larges et lisibles car l’écran d’un smartphone est petit.

L’affichage multi-colonnes est à proscrire, les flottants sont à afficher empilés et non plus côte à côte par exemple.

Des coûts élevés : Il est nécessaire d’investir dans du matériel pour chaque apprenant et de budgétiser les coûts de réparation et d’amélioration du matériel. Il faut également mettre en place un support technique pour répondre aux questions des utilisateurs et résoudre les soucis techniques.

La conception des modules engendre également des coûts car il faut acheter des logiciels de création de contenus m-learning. Il faut tenir compte du salaire des formateurs et développeurs en charge de les créer les contenus. Cette approche fera l'objet d'un prochain article.

Les défis de la sécurité de l'appareil et des données : La sécurisation des données est un véritable défi au quotidien. En raison de leur taille et de leur portabilité, les risques sont encore plus importants avec les appareils mobiles. Ils sont plus faciles à perdre et plus susceptibles d’être subtilisés que des PC de bureau. Il est important de protéger les données.

http://maniacgeek.files.wordpress.com/2009/12/big-brother-watching-you.png

Source : http://goo.gl/fPeLI

L’article "Verrouiller l'accès aux données, enjeu clé de la mobilité" du Journal du Net explique que l’on peut protéger les données de trois façons.

Tout d’abord, en protégeant les systèmes d’exploitation mobiles avec des logiciels disponibles sur le marché comme par exemple la solution Mobiz de Prim’X disponible pour Windows Mobile 5 et 6.

Ensuite, l’utilisation d’algorithmes de chiffrement peut servir à renforcer la protection les données.

Enfin, l’utilisation de techniques d’authentification comme les mots de passe alphanumériques pour accéder aux plates-formes.

Le m-learning a donc des inconvénients qui sont liés à ses avantages, à savoir la possibilité pour l’apprenant d’apprendre où et quand il le désire. Les contraintes pédagogiques peuvent être réduites, en particulier le manque de compétences métacognitives. Le tuteur peut intervenir pour aider l’apprenant à s’auto-évaluer par le biais de messages envoyés de smartphone à smartphone. Il est possible que les contraintes techniques disparaissent ou évoluent suite à de futures évolutions technologiques.

 

En savoir plus :

"Avantages et inconvénients du m-learning" / "Advantages and disadvantages of mobile learning"; written by: Lisa RYAN; article published: year 2007, month 01 : http://goo.gl/udTSt

"Adapter un site pour les smartphones", Open Web : http://goo.gl/RiUy5

"Verrouiller l'accès aux données, enjeu clé de la mobilité", Le Journal du Net : http://goo.gl/QN50n

 

Antoine Alias, Etudiant en master "ingénierie de la e-formation" à Rennes 1 est en stage à Skolanet. Nous lui avons confié une mission de veille dans le domaine du m-learning. Cette mission a un objectif pédagogique dans notre rôle de maître de stage puisqu'elle va à permettre à Antoine d'analyser et remédiatiser des informations. En effet, Antoine va vous proposer une chronique régulière sur ce blog : "Antoine et le m-learning". La reformulation doit l'aider à s'approprier progressivement de nouvelles compétences en matière de m-learning. Nous vous invitons à utiliser l'espace de commentaires pour rendre plus dynamique encore les apprentissages d'Antoine.
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19 juillet 2011 2 19 /07 /juillet /2011 16:29

 

 

http://officeimg.vo.msecnd.net/en-us/images/MH900342072.jpg

 

Le recours à des logiciels de m-learning suppose d'avoir conscience des forces et faiblesses de cette technologie pour la pédagogie.

 

Pour ce nouvel article, j’ai décidé de rechercher ce qui est nécessaire pour créer un bon module m-learning. Voici le résultat de quelques recherches qu'il me paraît intéressant de relayer.

 

 

 

Intéressons-nous à l'article intitulé “Ten Tips for Designing Mobile Learning Content” de Gere Griffin (directeur de Skill-Pill M-Learning) qui est disponible sur le site http://www.learningsolutionsmag.com/articles/700/ten-tips-for-designing-mobile-learning-content.

 

Voici ses préconisations :

 

Des contenus de 2 minutes : Le but du m-learning est de fournir les points clés et non une formation complète. N'oublions pas non plus que les modules doivent être consultables à n'importe quel moment et qu'une durée courte facilite cela.

 

Privilégier les animations à la vidéo : A force de développer des contenus pour mobile, Gere Griffin et son équipe ont remarqué le fait que le recours à des animations est préférable à l'utilisation de la vidéo. La raison vient du fait que cela est plus attrayant pour l'apprenant.

Pour illustrer ceci, vous pouvez regarder cette vidéo qui présente les consignes de sécurité à bord d'un avion avec des animations :

 

 

Personnaliser le contenu : Bien que l'on soit obligé de développer du contenu générique pour une formation, avec l'utilisation d'un vocabulaire ou d'un accent propre à une zone géographique, on peut personnaliser le contenu de la formation pour un public spécifique. Prenons l'exemple d'un apprenant francophone qui souhaite apprendre la langue anglaise avant d'aller faire un séjour aux États-Unis. Un module en langue anglaise avec des expressions souvent utilisées sur le sol américain pourra faciliter la discussion avec des habitants.

On peut également faire beaucoup plus en termes de personnalisation mais cela augmentera les coûts de développement des modules. Il faut donc faire un arbitrage entre contenu générique et contenu personnalisé.

 

Donner des astuces pour progresser : Le sentiment d'isolement peut repousser les apprenants, il faut les guider dans les modules au travers des consignes mais ils veulent aussi savoir comment travailler plus efficacement, plus intelligemment et plus rapidement qu'auparavant.

 

Ciblez les 5% des comportements réparateurs ou récidivistes : Si l'on arrive à identifier au sein d'une organisation, les zones où le travail n'est pas bien fait ou non conforme (les personnes savent ce qu'elles doivent faire mais ne le font pas), on peut réaliser des gains de productivité et améliorer la rentabilité. Identifier ces mauvais comportements permet de réaliser des modules qui répondent davantage là où les apprenants ont besoin de mieux travailler.

 

Concevoir les modules avec les utilisateurs : Ils sont les mieux placés pour évaluer et influencer le développement d'un produit car s'il répond à leurs besoins, envies et caractéristiques, il pourra être adopté plus facilement.

 

Adapter les contenus en fonction des événements à venir : Le besoin d'acquérir des connaissances et de les appliquer est le fil conducteur du m-learning. Un évènement tel que la mise sur le marché d'un nouveau produit peut nécessiter la mise en place d'une formation m-learning pour un commercial itinérant. En effet, connaître les forces et faiblesses du produit que l'on souhaite vendre permet d'adapter son argumentaire commercial.

 

Ne pas forcer mais encourager l'apprentissage : Le m-learning peut améliorer la productivité d'un salarié car il est disponible sur un support personnel, à n'importe quel moment et en fonction des besoins. L'entreprise doit encourager ses salariés à cette forme d'apprentissage.

 

Encourager les apprenants à s’auto-évaluer : Il faut encourager les apprenants à utiliser leurs connaissances pour faire face à des situations. Grâce à l'auto-évaluation, les apprenants peuvent connaître les résultats positifs et négatifs. Cela permet de pouvoir encore progresser.

 

Rendre l’expérience attrayante : Le m-learning doit proposer un contenu clair et être disponible n'importe quand et n'importe où. Il doit être consommable tout de suite par l'utilisateur pour qu'il ait encore envie d'utiliser cette technologie par la suite.

 

En respectant ces quelques consignes, les applications bénéficieront pleinement des avantages du m-learning présentés sur le site http://e-articles.info/e/a/title/Advantages-and-Disadvantages-of-Mobile-Learning/. Le m-learning permet de mettre à disposition de l'apprenant du contenu qui lui est nécessaire quelque soit le lieu où il se trouve et quand il le désire. Cela permet également une application immédiate des connaissances et des compétences. Les smartphones supportent des contenus tels que des animations, des vidéos, du son et de l'image pouvant favoriser l'apprentissage.

 

N'oubliez pas cependant que le m-learning a aussi des inconvénients. La possibilité d'apprendre où l'on veut, permet à l'apprenant de suivre sa formation dans la rue mais il peut être distrait à n'importe quel moment. La petite taille des écrans rend l'accès à l'information difficile à partir du web car les sites internet sont conçus pour être vus sur des écrans PC.

 

L'investissement financier pour une entreprise est très élevé car outre les coûts de développement importants, il faut investir dans du matériel pour chaque apprenant et dans un service de support technique. Je m'intéresserai plus particulièrement à ce sujet dans un prochain article.

 

Le m-learning génère de nouvelles possibilités pour l'apprentissage. Cependant la conception des modules étant différente du e-learning classique, il est important d'avoir une approche différente. Des astuces permettent d'illustrer ces différences et de réaliser des modules plus attrayants pour l'apprenant. Il est également important de connaître les forces et faiblesses du m-learning, afin d'éviter les mauvaises surprises si l'on se lance dans cette aventure de la connaissance disponible à tout instant.

 

 

Pour en savoir plus :


Dix astuces pour concevoir du contenu m-learning : http://www.learningsolutionsmag.com/articles/700/ten-tips-for-designing-mobile-learning-content

 

Avantages et inconvénients du m-learning : http://e-articles.info/e/a/title/Advantages-and-Disadvantages-of-Mobile-Learning/

Antoine Alias, Etudiant en master "ingénierie de la e-formation" à Rennes 1 est en stage à Skolanet. Nous lui avons confié une mission de veille dans le domaine du m-learning. Cette mission a un objectif pédagogique dans notre rôle de maître de stage puisqu'elle va à permettre à Antoine d'analyser et remédiatiser des informations. En effet, Antoine va vous proposer une chronique régulière sur ce blog : "Antoine et le m-learning". La reformulation doit l'aider à s'approprier progressivement de nouvelles compétences en matière de m-learning. Nous vous invitons à utiliser l'espace de commentaires pour rendre plus dynamique encore les apprentissages d'Antoine.
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27 juin 2011 1 27 /06 /juin /2011 11:35

 

http://4.bp.blogspot.com/_xjMZgH2OqP4/SwMIsQnthAI/AAAAAAAAJGU/mxkEhtCkPtI/s1600/drapeau_usa-full.jpgLors de ma précédente chronique, je m'étais intéressé au m-learning et à son utilité. Cette semaine, je vous propose de nous intéresser au m-learning outre-Atlantique.

 

Le m-learning aux Etats-Unis, quelles perspectives pour un marché en forte croissance ?

 

 

Je me suis tout d'abord intéressé au marché du m-learning. D'après une étude disponible sur http://www.ambientinsight.com/Reports/MobileLearning.aspx, le marché américain des produits et services en m-learning a atteint 958,7 millions de $ pour l'année 2010. Avec un taux de croissance d'environ 13,7% ces cinq dernières années, on estime que le marché américain atteindra 1,82 milliards de $ en 2015. Les Etats-Unis sont actuellement le pays le plus consommateur de m-learning. Le secteur le plus demandeur de m-learning aux Etats-Unis est le secteur de la santé avec 17% de la demande totale.

 

http://www.watblog.com/wp-content/uploads/2010/11/mobile_health_thumb.jpg

Source image : http://blog.empowerlms.com/

 

 

Le m-learning est un secteur en plein essor aux Etats-Unis. Outre la croissance en terme économique, c’est la perception du m-learning par le public qui va évoluer. D’après le site internet floatlearning.com on peut distinguer cinq évolutions majeures pour 2011.

 

Le m-learning aura sa propre identité et ne sera plus seulement considéré comme du e-learning sur un support mobile. Les contraintes techniques liées à la taille de l’écran des supports mobiles et à l’ergonomie pour l’utilisateur, ainsi que les contraintes pédagogiques tel que la nécessité de produire des contenus simples et atractifs font que les supports de formations m-learning vont se distinguer de plus en plus du e-learning.

 

L'investissement dans le m-learning devrait augmentait fortement en 2011. La fin de la récession économique va engendrer une hausse des investissements des entreprises et le secteur de la formation ne devrait pas y échapper.

 

Des sous-disciplines du m-learning vont émerger. Le m-learning va continuer à se développer et toucher de nouveaux publics qui ont des besoins d'apprentissages spécifiques. Par exemple, des touristes qui visitent un pays pourront recevoir des informations sur les lieux à visiter dans la région.

 

Le développement du m-learning pour tablettes va devenir une de ces sous-disciplines. A l'heure de la démocratisation des tablettes, il est certain que de plus en plus de contenus vont être développés pour ce type de support. L'avantage par rapport à un smartphone est de pouvoir développer des contenus plus complexes.

 

Le Flash va être très utilisé en m-learning. Les développeurs ont appris à se servir de ce format pour concevoir des contenus e-learning. De plus, de nombreux outils de création de rapid-learning sont basés sur le Flash et le m-learning utilise ces outils. Pour le moment l’IPad n’est pas compatible avec le flash mais il est possible de développer des applications en format html5 pour ce type de support.

 

Je m'intéresse également à des projets de formation qui sortent du cadre de l'enseignement universitaire. Deux projets ont particulièrement attiré ma curiosité. Ils sont consultables sur les sites internet http://www.elearningguild.com et http://www.newsecuritylearning.com.

 

Le premier projet est un partenariat entre les ministères de la défense singapourien et américain pour mettre au point des formations médicales distribués dans une vingtaine de pays. L'assistance humanitaire lors des récentes catastrophes naturelles nous montre la nécessité d'une collaboration efficace pour sauver des vies humaines. Ces modules pourraient permettre à des personnes n'ayant pas les mêmes compétences ou ne parlant pas la même langue de travailler ensemble plus efficacement.

 

Le second fait suite à l'un des discours du mois de janvier du président Barack Obama qui a annoncé vouloir lutter contre le trafic d'être humain et l'esclavage moderne et a invité les citoyens américains à se former sur ces sujets. Suite à ce discours, l'entreprise eXact learning solutions a mis au point au point des modules de m-learning sur ce thème à destination du personnel du ministère de la défense.

 

Le marché du m-learning aux Etats-Unis est le premier marché au monde et il va continuer de se développer fortement. Le m-learning a donc encore de beaux jours devant lui. En outre, il va continuer à se distinguer du e-learning en termes de contenus et de reconnaissance par le public.

Le m-learning permet également de réaliser des projets collaboratifs entre Etats pour mieux coordonner des actions humanitaires ou informer les populations sur des sujets de sociétés. Ainsi, le m-learning ne sera plus seulement utile en classe ou dans des entreprises qui ont des besoins spécifiques, mais il pourra toucher une audience plus large en fonction des sujets proposés.

 

En savoir plus :


Etude sur le marché américain du m-learning : http://www.ambientinsight.com/News/Ambient-Insight-2010-2015-US-Mobile-Learning-Market.aspx

Prévisions pour le m-learning en 2011 : http://floatlearning.com/2011/01/some-mobile-and-mlearning-predictions-for-2011/

Des applications médicales développées par Singapour et les Etats-Unis : http://www.elearningguild.com/mlearncon-news-and-updates/post.cfm/sg-and-us-military-cooperate-for-m-learning

Le gouvernement américain souhaite former ses soldats pour lutter contre le traffic d’être humain : http://www.newsecuritylearning.com/index.php/news/70-us-uses-mobile-learning-in-fight-against-human-traffickers


Antoine Alias, Etudiant en master "ingénierie de la e-formation" à Rennes 1 est en stage à Skolanet. Nous lui avons confié une mission de veille dans le domaine du m-learning. Cette mission a un objectif pédagogique dans notre rôle de maître de stage puisqu'elle va à permettre à Antoine d'analyser et remédiatiser des informations. En effet, Antoine va vous proposer une chronique régulière sur ce blog : "Antoine et le m-learning". La reformulation doit l'aider à s'approprier progressivement de nouvelles compétences en matière de m-learning. Nous vous invitons à utiliser l'espace de commentaires pour rendre plus dynamique encore les apprentissages d'Antoine.
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17 juin 2011 5 17 /06 /juin /2011 11:36

http://www.humbleisd.net/cms/lib2/TX01001414/Centricity/Domain/4113/mobile_learning.jpegTout d'abord le m-learning ou mobile-learning permet de délivrer des formations à distance sur d’autres supports que les postes informatiques. L’apprenant peut poursuivre sa formation où qu’il soit grâce à un appareil mobile comme le smartphone, un lecteur multimédia comme l’iPod ou une tablette mobile comme l’iPad grâce aux nombreuses applications développées. Le développement des technologies mobiles et la démocratisation de leur usage permettent d'entrevoir la possibilité de pouvoir apprendre autrement qu'en présentiel ou sur un poste informatique.

 

Alors que les formations e-learning et blended-learning permettent d’acquérir des compétences et de les mettre en pratique. Les modules m-learning offrent des ressources complémentaires qui viennent en complément aux formations. Les formations disponibles sur smartphone ne peuvent pas se substituer à des formations classiques, alors que ce n'est pas le cas pour celles qui sont disponibles sur tablette.

On comprend ainsi que c'est une solution qui permet de s’adapter aux besoins des individus et à des contextes de travail spécifique tel que le travail nomade. Prenons l'exemple d'un commercial nomade qui vend des produits évoluant souvent.Il ne se trouve pas souvent dans l'entreprise et ne peut donc suivre une formation classique. Pendant ses trajets ou des moments libres et grâce à un module m-learning, il peut apprendre les caractéristiques d'un produit et tester ses connaissances.

 

Après avoir décrit ce qu'est le m-learning, voici une petite vidéo (en anglais) qui illustre les points positifs du m-learning pour une entreprise, des formateurs et des apprenants.

 

 

Mettre à disposition du contenu pédagogique pour vos salariés nomades : une entreprise peut créer des modules et les proposer aux salariés.

Délivrer du contenu efficacement de n'importe où : un formateur peut créer un module où qu'il se trouve et le mettre à disposition grâce à Internet.

Communiquer avec vos apprenants: les réseaux sociaux, les forums et e-mails permettent aux formateurs d'échanger avec les apprenants.

Transporter avec soi des modules m-learning : il faut les télécharger et on peut ensuite les utiliser quand on le souhaite.

Accèder à l'information à n'importe quel moment : l'apprenant peut décider quand il va se former car il a les applications à porter de main.

Retranscrire ses savoirs en informations en un instant : les ressources des modules permettent de se former et les exercices permettent une application immédiate.

Partager de l'information avec les autres utilisateurs grâce à l'utilisation des réseaux sociaux tel que Twitter, Delicious, etc...

Expérimenter le travail collaboratif et le partage en temps réél : les apprenants peuvent partager les modules, visionner des ressources et faire ensemble les exercices.

 

 

Nous avons tous rencontrés des moments d'attente interminable comme les heures dans les transports en commun ou dans une salle d'attente. Lors de ces moments, on se dit souvent que l'on aimerait bien faire quelque chose d'utile. Avant il fallait avoir un livre et des stylos pour réviser, cela n'était pas pratique. Aujourd'hui, nous avons notre téléphone avec nous en permanence et il peut nous servir à réviser quand on le souhaite et surtout n'importe où. Le m-learning est une forme d’apprentissage qui permet d’acquérir les connaissances et de les mettre en pratique directement grâce à des exercices d’applications pour lesquels il faut cocher les réponses sur l'écran.

 

Les ressources mises à disposition des apprenants sont adaptées à la taille des écrans, on trouve des documents textes, des vidéos, des pistes audio voir des formations complètes adaptées à des terminaux mobiles comme les tablettes. L'apprenant a le choix du contenu pédagogique mais aussi du type de ressources qu'il va utiliser.

Cependant, le m-learning n'est pas non plus la solution miracle pour apprendre en toutes circonstances. La petite taille des supports génèrent des contraintes de développement. Il faut développer des modules simples, pratiques, partageables et ludiques afin de capter l’attention de l’apprenant. Il convient d'éviter de proposer une formation trop lourde sur ce type de support.

 

Sources :

http://www.journaldunet.com/ebusiness/expert/47856/mobile-learning-et-e-learning--des-concepts-de-formation-en-pleine-essor.shtml

http://www.aupress.ca/books/120155/ebook/99Z_Mohamed_Ally_2009-MobileLearning.pdf


Antoine Alias, Etudiant en master "ingénierie de la e-formation" à Rennes 1 est en stage à Skolanet. Nous lui avons confié une mission de veille dans le domaine du m-learning. Cette mission a un objectif pédagogique dans notre rôle de maître de stage puisqu'elle va à permettre à Antoine d'analyser et remédiatiser des informations. En effet, Antoine va vous proposer une chronique régulière sur ce blog : "Antoine et le m-learning". La reformulation doit l'aider à s'approprier progressivement de nouvelles compétences en matière de m-learning. Nous vous invitons à utiliser l'espace de commentaires pour rendre plus dynamique encore les apprentissages d'Antoine.
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